J’ai testé : Champaë, le shampoing solide des Délices d’Azylis.

Bonjour à toutes et à tous !

Suite à mon dernier article dans lequel j’évoquais l’un de ses produits, j’ai été contactée par Cécile, la créatrice de la marque Les Délices d’Azylis qui m’a gentiment proposé de m’envoyer son dernier né, le shampoing solide Champaë, afin que je puisse me faire un avis.

Comme vous le savez déjà, j’ai l’habitude des shampoings solides depuis de nombreuses années maintenant. J’ai donc eu le temps d’en essayer un certain nombre, avec plus ou moins de réussite selon les cas.
Suite à des démangeaisons inhabituelles et gênantes du cuir chevelu, j’étais depuis un petit moment repassée à l’utilisation de shampoings liquides, John Master Organics au zinc et à la sauge, et Weleda au millet pour ne pas les nommer.Au moment de débuter mon test de Champaë mes cheveux me paraissaient plutôt en bonne santé, et les démangeaisons étaient presque totalement oubliées ; le seul réel désagrément pour moi étant la présence systématique de frisottis peu esthétiques. En effet, sans les silicones des produits conventionnels, je trouve que les cheveux paraissent bien souvent moins gainés quand on utilise de produits naturels (sauf avec le henné, que j’ai néanmoins totalement arrêté il y a 2 ans maintenant pour revenir à ma couleur naturelle).

Champaë se présente sous la forme d’un petit galet qui tient bien dans la main. Il en existe deux versions, l’une de  50g, et l’autre de 100g. Je trouve cette dernière particulièrement bluffante dans son aspect tant elle ressemble à un véritable galet que l’on pourrait retrouver sur une plage !
Pour les personnes qui le connaissent, c’est la version solide du shampoing liquide l’Épicée de la même marque.

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La composition globale est Lire la suite

Les culottes menstruelles Louloucup : mon avis et un petit code !

Bonjour, bonjour !

Vous l’aurez compris en lisant le titre de l’article, c’est de culottes menstruelles que l’on va parler aujourd’hui !
En début d’année, avant le confinement, Louloucup m’avait proposé de choisir deux culottes parmi leurs jolis modèles afin que je puisse me faire une idée et vous en parler si j’étais convaincue.
Cela faisait un bon moment que je souhaitais essayer ce type de protection periodique, c’était donc tombé à pic ! Et puis, j’ai ensuite un peu disparu de la circulation par ici et l’article n’est jamais arrivé… mais cela a au moins eu l’avantage de me permettre de me forger une opinion solide sur la durée !

Comme je l’avais déjà évoqué dans un long billet l’an dernier, les protections périodiques « classiques » constituent une immense source de déchets, et elles ne sont bien souvent pas si anodines que cela pour notre santé.
J’étais pour ma part passée d’abord aux protections en coton biologique sans chlore, avant de sauter le pas vers la cup, puis le flux instinctif libre.
Aujourd’hui, c’est toujours cette dernière méthode que j’utilise le plus régulièrement et je continue d’avoir ma cup à porté de main si besoin, même si ça n’est pas la technique que je privilégie. Je n’ai pas changé d’avis et trouve encore la cup super chouette, mais avec mon petit flux elle ne me semble pas être la solution la plus adaptée pour moi en règle général. Je me suis plutôt tournée vers les serviettes lavables très fines et, notre sujet du jour,  les culottes menstruelles en complément du flux instinctif libre (pour la nuit par exemple).

Les deux culottes que j’avais choisi d’essayer chez Louloucup sont les modèles Naomi et Rebecca, tout simplement car elles sont noires ! Je trouve la Romy extrêmement belle, mais je savais qu’avec sa couleur rouge je ne la porterais pas. Il existe également un modèle bleu, nommé Lucie.
Ces quatre culottes sont dotées d’un pouvoir absorbant fort qui équivaut à 2 ou 3 tampons.
En complément (c’est presque encore un secret 😉 ), Louloucup s’apprête tout juste à lancer trois nouvelles culottes que je trouve personnellement très réussies esthétiquement et que je vous montrerai en fin d’article.

culottes_louloucup

Mais alors, quel est donc mon avis sur Rebecca et Naomi ?! Lire la suite

Mon dilemme avec la Honey Mud de May Lindstrom.

Il y a déjà six mois de cela, le e-shop chic et écolo Bazar Bio m’a proposé de tester ce que je voulais parmi leur sélection pointue.
Beaucoup de chose me faisaient de l’œil et l’aide d’Aurélie m’a été précieuse pour affiner mon choix ! Et j’ai donc fini par me décider pour la Honey Mud de May Lindstrom.

Si je ne m’intéresse pas à la mode et que je ne suis pas les tendances (voire que je m’énerve gentiment quand des choses que j’aime depuis 20 ans se retrouvent subitement récupérées), cela ne veut pas pour autant dire que je suis insensible à l’esthétique… bien au contraire même !
Malheureusement l’univers de la cosmétique naturelle et biologique est souvent fort éloigné de mon goût pour tout ce qui est graphique et sombre, et je suis rarement très emballée par les visuels proposés. Il y a néanmoins de belles exceptions de ce côté-là (je pense notamment à Absolution ou Epicosm en France), et May Lindstrom en fait très clairement partie.

may_lindstrom

J’ai décidé de réduire drastiquement les produits en ma possession, je suis en train d’en terminer une bonne partie, et je compte à l’avenir porter mon choix uniquement vers des choses à la fois efficaces, correspondant à mes critères éthiques, et satisfaisant également au maximum mon envie d’un beau quotidien. Ça à l’air futile, et peut-être un peu idiot comme ça, mais je suis intimement persuadée que c’est moins anodin qu’on ne le pense…
Et la Honey Mud, avec son élégant pot en verre noir remporte donc haut la main pour moi le challenge du visuel !

Du côté de l’éthique, pas grand chose à redire non plus à priori. La marque est indépendante, elle est totalement cruelty-free (mais pas entièrement vegan, elle utilise du miel comme vous vous en doutez vu le nom de mon produit) et refuse de vendre dans les pays exigeant des tests sur les animaux, ses matières premières sont soit biologiques ou biodynamiques, soit sauvages, et elle assure par ailleurs payer ses employés et fournisseurs correctement.
Pas mal de précisions sont directement accessibles sur le site de la marque, mais j’avoue ne pas avoir pris le temps de la contacter directement pour en savoir encore plus, notamment au sujet de la contribution qu’elle dit apporter à des organismes qui lui tiennent à cœur…

Du côté des jolis emballages, tout est en verre et carton recyclables ; on est donc au top ici également !

honey mud

Qu’en est-il maintenant de l’efficacité de ce produit à l’esthétique impeccable ?!
A vrai dire, je suis aujourd’hui très embêtée pour vous en parler car la Honey Mud a en effet été retirée temporairement du marché par May Lindstrom.

Sa composition irréprochable et 100% naturelle (disponible en bas de cet article) basée en majeure partie sur 2 ingrédients phares, le miel brut et l’argile blanche (et complétée par des huiles végétales et de l’argent colloïdal), a fini par montrer une faille. Il semblerait en effet que certains lots aient présenté des problèmes de fermentation, la marque supposant que des bactéries dormantes contenues dans l’argile aient pu se réveiller en trouvant les nutriments nécessaires dans le miel brut.
Les communiqués officiels à ce sujet sont accessibles ici et , et May Lindstrom travaille donc en ce moment à trouver une solution pour stabiliser la formule de cette Honey Mud qui semblait avoir conquis de nombreuses personnes.

Et je dois bien avouer que je fais partie de ces personnes ! L’utilisation du produit est extrêmement agréable et Lire la suite

Mon nouvel indispensable en voyage : le démaquillant solide Nüe de Pachamamaï.

Comme promis la semaine dernière, je vous propose aujourd’hui de découvrir un produit pour lequel j’ai eu un vrai coup de cœur ces derniers temps.

Vous le savez certainement si vous me suivez sur Instagram, je suis récemment retournée en Écosse pour courir le semi-marathon de l’île de Skye et vadrouiller pendant une semaine.
En préparant ma trousse de toilette, j’avais commencé, comme à mon habitude, par remplir une petite bouteille rechargeable d’huile de jojoba pour me démaquiller.

C’est le seul démaquillant que j’utilise depuis des années et il me convient bien car il assure parfaitement sa fonction et est adapté à ma peau. Mais il demeure cependant un défaut gênant. Il s’agit d’une huile végétale pure, et malgré son toucher plutôt sec par rapport à d’autres huiles, elle reste indéniablement grasse lorsqu’on en utilise plus de quelques gouttes. Cela a donc tendance à encrasser mon lavabo, et en voyage, quand il n’est pas toujours facile d’accéder tranquillement à une salle de bain, ça n’est finalement pas le plus pratique à mon goût.

Par conséquent, en allant faire une course de dernière minute dans mon épicerie vrac avant mon départ, j’ai craqué pour la version voyage du démaquillant solide Nüe de Pachamamaï. Cela faisait un moment que ce produit m’intriguait, c’était donc la bonne occasion !

Premier avantage intéressant, son format solide passe très bien lorsqu’on voyage en avion (oui je sais, c’est mal #flightshame) simplement avec un petit bagage cabine ; pas besoin de le sortir au moment des contrôles. Et cela évite par la même occasion les risques d’accident avec un flacon mal fermé.

Deuxième avantage : la version voyage est, comme toujours chez Pachamamaï, rechargeable, zéro déchet et très pratique avec sa petite boite en alu qui ferme bien.
Il existe évidemment une version grand format pour une utilisation quotidienne à la maison. Cette dernière est en général vendue avec un emballage carton recyclable, mais si comme moi vous avez la chance d’avoir une épicerie vrac vendant les produits de la marque, vous pourrez peut-être la trouver sans emballage du tout !

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Qu’en est-il maintenant de l’utilisation ? Pachamamaï propose deux façons de se servir de ce démaquillant : soit en le passant directement sur le visage mouillé, soit en le frottant sur une lingette réutilisable humide.
J’ai pour ma part opté pour Lire la suite

J’ai testé : l’huile douce Epicosm pour le corps.

Hello ! Après notre petite vadrouille en Islande dans l’article précédent, je vous propose aujourd’hui de revenir dans ma région pour découvrir la nouvelle Huile Douce pour le corps de la marque savoyarde Epicosm.
Si vous avez bonne mémoire, je vous avais présenté cette jolie marque et ses oléo-sérums pour le visage il y a un peu moins d’un an.
Onze mois plus tard, je suis toujours aussi convaincue par le sérum éclat et fermeté que j’ai presque terminé. Comme je l’utilise en alternance avec quelques autres produits, il m’aura duré vraiment longtemps. Et je peux d’ailleurs vous confirmer au passage que la formule est bien stable dans le temps. 😉

Il y a quelques mois maintenant, Estelle la créatrice d’Epicosm a décidé de lancer un nouveau produit : une huile douce pour le corps, et c’est elle que je vais vous présenter aujourd’hui.

Pour situer un peu : je suis très difficile au niveau des soins pour le corps, bien plus que pour les soins visage bizarrement. Je trouve souvent les produits plutôt bien, mais je ne suis jamais super emballée. Les crèmes sont souvent trop fluides et pas assez hydratantes, les huiles trop grasses, les baumes trop épais. Quand c’est bon pour la texture, j’ai un souci avec les odeurs trop tenaces, trop fleuries etc. Quand c’est bon avec le parfum, je me bats avec le packaging, parfois à cause d’un bouchon peu pratique à dévisser, souvent juste parce que tout est en plastique. Bref, il y a toujours quelque chose qui cloche et en conséquence, malgré une peau plutôt sèche sur les jambes et des tatouages à hydrater, je finis systématiquement pas laisser tomber les soins du corps.

Mais alors, qu’en est-il de l’Huile Douce Epicosm ?!

Premier bon point : le packaging en verre, sans emballage superflu. Comme vous le savez, Lire la suite

Mon avis sur la Louloucup (et un petit code) !

Bonjour, bonjour !
Dans la continuité de mon précédent article sur les protections périodiques, je vais aujourd’hui vous présenter la fameuse Louloucup que j’évoquais rapidement mardi.

Vous l’avez bien compris, la cup est vraiment la bonne alternative lorsque l’on veut arrêter d’utiliser des tampons et réduire ses déchets tout en réduisant ses dépenses.
En quelques mois seulement elle est rentabilisée, et comme on peut la garder au moins 5 ans, les économies sont bien réelles.

Lorsque j’ai décidé d’acheter ma première cup, il y a six ou sept ans maintenant, j’avoue que j’étais bien embêtée car il y avait très peu d’informations disponibles, et on ne trouvait pas encore de coupes menstruelles en magasins dans ma ville. Ce qui est un peu fou lorsque l’on sait que la cup a été inventée dans les années 30… avant de passer totalement aux oubliettes  malheureusement !

J’avais tout de même fini par tomber sur un forum où les différentes coupes existantes étaient comparées, et où il y avait des indications pour aider dans le choix de la taille.

J’avais alors opté pour une Meluna que j’ai eu toutes les peines du monde à utiliser au début ! Je ne savais pas bien comment la plier et je pensais ne pas la positionner correctement car je n’arrivais pas à éviter les fuites. Mais en fait, j’ai fini par me rendre compte qu’elle ne ventousait pas bien car les trous prévus à cet effet près de son bord étaient minuscules ! Je les ai agrandis, et au bout de quelques cycles j’ai donc fini par réussir à utiliser ma nouvelle cup correctement.

C’est toujours la cup que j’avais lorsque Louloucup m’a contactée pour me proposer de tester les siennes.
Comme je l’ai déjà dit, je n’utilise plus de protection dans la grande majorité des cas car je pratique maintenant le flux instinctif libre. Mon ancienne cup, après plusieurs années de bons et loyaux services réguliers, était donc uniquement réservée à un usage occasionnel. En gros, lorsque je ne suis pas certaine d’avoir correctement accès à des toilettes. Et c’est exactement de cette manière que j’utilise ma nouvelle Louloucup.

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La marque propose deux types de coupes (classique et souple), chacune disponible en deux tailles (small ou large).
Concernant la taille, tout est bien expliqué sur le site grâce à un petit schéma que je me permets de reprendre ici : Lire la suite